LES 6 COMMANDEMENTS |
COURRI@L 2004 | THE 6 COMMANDMENTS |
Sacrava :
N.P. : One of these "engines" might belong to Lauk Ajnha Yea, first governor of Svay Rieng, who was imprisoned for possessing that model before His Majesty.
D.S. : Besides that car (I saw it), Oknha Yea possessed a personal mansion, surrounded by individual villas for several wives over a well fenced property. He had apartments for rent at the heart of the administrative area of Prey Veng province. His mansion was the most attractive building in that provincial capital like that of the former French Resident there. Being a young child then, I did not know what was wrong with that rich old man whose grandchild was not sympathetic at all.
N.P. : Merci pour vos additionnelles précisions. Ainsi Lok Ajnha Yea imitait Sa Majesté (Monivong?) avec son "palais provincial" et ses "Snam et Neak Mneang". Ça avait vexé Sa Majesté qui le fit jeter en prison pour lèse-majesté. Croyez-vous que sa richesse venait de son salaire? La corruption dans notre pays datait d'avant Norodom qui avait une curieuse façon de garnir les caisses de l'État :
<< NORODOM (1834-1904), couronné en 1864, fils de ANG DUONG. Elevé à Bangkok qui le désigna roi en 1860. Grâce aux Français il fut couronné à Oudong en 1864. Il ne reconnut que quatre épouses royales dont l'une est à l'origine des dynasties 8 (SIHANOUK) et 9 (SURAMARIT). Signe l'accord de Protectorat, résiste aux réformes imposées par l'administration française. En 1890 la cour du roi compte quelques 7 500 personnes, dont 5 000 esclaves. Les fonctionnaires doivent acheter leur charge (fréquemment et aux enchères) et deviennent rien de plus qu'une source de revenu royal en or, en corvées ou en cadeaux. A tous les niveaux et en cascade, le pouvoir s'achète et fait payer ses administrés pour se rembourser au centuple. Faute de salaire, il faut faire rendre les charges au point que les autorités locales concluent des accords avec les bandits et perçoivent des droits sur leurs activités! (Les français imposèrent une ordonnance en 1877 pour que les fonctionnaires perçoivent un salaire : elle ne sera jamais appliquée). Bien que s'étant toujours refugié dans un passéisme dommageable sur le plan économique, Norodom a contribué à sauvegarder l'indépendance de son pays et à empêcher une vietnamisation pourtant voulue par le colonisateur.
SISOWATH (1840-1927), couronné en 1904, demi-frère cadet du roi Norodom, fils de ANG DUONG. Fit une partie de son éducation à Bangkok, a lutté contre son frère Si Votha instigateur d'une rébellion contre les Français. Exilé à Bangkok puis à Saïgon. Il entretient une cour qu'il a ramené à quelques 800 personnes dont 546 employées en permanence. Il restera le symbole immobile de la tradition, garant de la validité de l'action protectrice. Il eut six épouses royales, dont l'une donna naissance à Monivong, dynastie numéro 7.
MONIVONG (1876-1941), couronné en 1927, 14e enfant de SISOWATH et le plus âgé de ses fils survivants. Sort sous-lieutenant de l'Ecole d'Infanterie de Saint-Maixent, termina sa carrière militaire en tant que capitaine en Algérie, avant d'être rappelé à Phnom Penh par son père. Un temps considéré comme le moins qualifié à régner, il fut choisi car le plus susceptible de ressembler à Sisowath. Il eut dix épouses royales. La fille de sa première épouse, la princesse Kossamak, donnera naissance au futur roi Sihanouk et deviendra reine du Cambodge. >>
J'ai copié ça du site "Les amis
du Cambodge". J'avoue que j'ai eu du mal à y croire.
Des Haïtiens non bouddhistes
18 JANVIER 2004
(AP / Rodrigo Abd) |
PORT-AU-PRINCE, Haïti (AP) - Quelque 4.000 opposants ont manifesté dimanche dans les rues de Port-au-Prince pour exiger la démission du président haïtien Jean-Bertrand Aristide, tandis que des partisans du pouvoir leur lançaient des pierres et tentaient de leur barrer la route avec une barricade enflammée. Au moment où les manifestants anti-Aristide approchaient de la barricade de pneus enflammés, des coups de feu ont été tirés par des hommes circulant en voiture, blessant à l'abdomen un marchand ambulant qui se trouvait sur le trottoir. La victime a été hospitalisée dans un état stationnaire, selon la police. Peu après, un groupe d'hommes encagoulés a tiré sur deux étudiants qui quittaient la manifestation. Les deux jeunes ont été blessés par balles et hospitalisés, eux aussi dans un état stationnaire, a rapporté la station Radio Vision 2000. Alors que les opposants défilaient dans les rues de la capitale et se dirigeaient vers le bâtiment de la télévision nationale, une poignée de partisans du président Aristide leur ont lancé des pierres avant d'en jeter sur l'édifice. |
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