LES 6
COMMANDEMENTS
PHN@M - P@NH - P@TINS THE 6
COMMANDMENTS


Cambodia's Pittance & Debt (2004-Dec-26)

Who are Cambodia's main donors?
Khmerintelligence.org : At the December 6-7, 2004 Consultative Group meeting, the international donor community pledged a total of $504 million to help Cambodia in 2005. The main donor countries or institutions are as follows:
Countries:
- Japan: $123 million
- U.S.A.: $44 million
- France: $33 million
- Australia: $29 million
- Sweden: $28 million
- United Kingdom: $28 million
- Germany: $17 million
- Denmark: $12 million
- Belgium: $12 million
Institutions:
- Asian Development Bank: $105 million over the next two years
- World Bank: $45 million
- European Commission: $40 million.
How much does Cambodia owe the rest of the world?
Khmerintelligence.org : As of 30 November 2004, Cambodia's outstanding debt breaks down as follows:
Concessional loans: $1,692 million
- Asian Development Bank: $757 million
- World Bank: $597 million
- IFAD: $39 million
- OPEC: $28 million
- China: $84 million
- Japan: $69 million
- South Korea: $65 million
- Malaysia: $18 million
- Thailand: $14 million
- India: $10 million
- Other countries: $12 million
Other loans: over $1 billion (unclear status, to be negotiated)
- Russia (former Soviet Union): up to $1 billion (?) contracted in the 1980's under the People's Republic of Kampuchea and the State of Cambodia.
- U.S.A.: up to $200 million (?) Will the Congress accept to write-off the debt contracted in the early 1970's under the Lon Nol regime?
- Other countries (that are not members of the Paris Club): Unknown.
In total, Cambodia's international debt may finally reach $2 to 3 billion, compared to a GDP of less than $4 billion.
Source: Ministry of Finance.

Le Cambodge dans l'industrie culturelle mondiale (2004-Déc-22)
La diversité culturelle, ennemie des Etats-Unis

Malgré les efforts de la France pour empêcher que le Cambodge fasse une offre de libéralisation de ses industries culturelles, rien n'a pu être évité. "Les Américains utilisent des tas de moyens pour obtenir le maximum de libéralisation de services (cinéma, télévision, musique, livre, nouveaux médias). Généralement, il leur suffit de baisser les droits de douane sur certains produits que les pays souhaitent exporter", ... 

         LE MONDE : Au nom du libre-échange, les Américains tentent de vider de toute substance un projet de convention en négociation à l'Unesco. La culture, enjeu géopolitique. Depuis que les industries culturelles sont devenues le premier poste d'exportation des Etats-Unis, et au moment où se négocie à l'Unesco un projet de convention pour la diversité culturelle, la pugnacité des Américains à préserver leur pré carré et leur influence dans le monde est plus que jamais d'actualité. Du 13 au 18 décembre, un groupe de 24 délégations a peaufiné l'avant-projet de cette convention, qui devrait être votée en octobre 2005. Les luttes au sein de l'Unesco pour créer un instrument juridique contraignant et qui protégera la diversité culturelle reflètent clairement une bataille économique beaucoup plus vaste, menée quotidiennement par les Américains.
 
         Le cinéaste marocain Nabil Ayouch en a bien conscience depuis qu'il a organisé, en tant que fondateur de la Coalition marocaine pour la diversité culturelle, une manifestation pacifique à Rabat le 26 janvier 2003. La police est intervenue, en faisant quelques blessés légers, alors que la foule, réunie en sit-in, voulait éviter que les accords commerciaux en négociation avec les Etats-Unis ne permettent aux Américains de faire main basse sur l'ensemble du paysage audiovisuel privé marocain.

           "L'accord de libre-échange devait intégrer tous les secteurs de l'économie, raconte le réalisateur d'Une minute de soleil en moins. Le niveau des subventions accordées à la culture a pu être maintenu, mais rien n'a pu être envisagé pour préserver vraiment l'avenir et autoriser des subventions publiques dans les nouvelles technologies ou Internet." "La demande que nous formulions d'imposer des quotas de cinéma national dans la programmation télévisuelle ou de musique dans les radios n'a pas abouti, regrette Nabil Ayouch. En revanche, nous avons obtenu gain de cause pour la loi sur l'audiovisuel. Les Américains souhaitaient pouvoir prendre plus de 49 % du capital d'une chaîne de télévision et modifier la loi pour en contrôler plus d'une. Cela n'a pas été possible."

           "Il a fallu une intervention très nette de Jacques Chirac auprès des autorités marocaines pour éviter le pire", précise-t-on dans l'entourage de François Loos, ministre délégué au commerce extérieur. "Les Américains ont proposé d'ouvrir leur marché aux produits agricoles marocains. En contrepartie, le Maroc devait s'engager à renoncer à sa souveraineté sur ses industries culturelles", souligne le conseiller de Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication.

ATTAQUES EN RÈGLE

          "Mais très concrètement, relève Nabil Ayouch, les producteurs marocains qui veulent exporter des fruits ou des légumes aux Etats-Unis ont beaucoup de mal. On leur dit par exemple que leurs denrées ne sont pas conformes aux règles d'hygiène requises, car les camions qui les transportent passent sur une route située à 300 mètres d'une décharge publique. Ils doivent faire un détour de 80 kilomètres."

           Pour Jean Musitelli, un des experts non gouvernementaux chargés de préparer l'avant-projet de convention, les Américains - qui avaient quitté l'Unesco en 1984 et l'ont récemment rejoint - "ont changé de stratégie" vis-à-vis de la future convention. "Après une phase de commisération au cours de laquelle ils ne croyaient pas à ce projet, ils l'ont attaqué frontalement quand ils ont vu que la mayonnaise commençait à prendre. Ce qui passe par des attaques en règle contre ce projet de convention, qu'ils qualifient de protectionnisme déguisé", explique l'ancien porte-parole de l'Elysée.

           Les Etats-Unis ont ainsi présenté la semaine dernière des commentaires généraux et des amendements à l'avant-projet de convention, en cherchant notamment à diluer le texte pour le vider de sa substance. Au point de l'élargir aux "matières perçues comme religieuses"ou encore aux "langues et à la diversité linguistique". Sur ce point, ils n'ont pas obtenu gain de cause.

           Plus nettement, les Américains considèrent dans leurs commentaires que "l'Unesco ne devrait pas s'occuper de politique commerciale, -ce- qui est du ressort de l'OMC". Ils ne veulent surtout pas que se crée un instrument juridique plus contraignant que l'OMC. Aussi souhaitent-ils la variante la moins sévère dans la rédaction de l'article 19 - très épineux puisqu'il concerne précisément les relations avec les autres instruments juridiques. Ce projet d'amendement, qui sera examiné ultérieurement, affirme : "Rien dans la présente convention ne modifie les droits et obligations des Etats parties au titre d'autres instruments internationaux existants."

TOM CRUISE AU VIETNAM

           Pour Jean Musitelli, l'autre tactique des Américains consiste à contourner l'OMC ou la future convention de l'Unesco en multipliant les accords bilatéraux de nouvelle génération. "Les Américains établissent des précédents dans chaque continent et forcent successivement les gouvernements à renoncer, le plus possible, à leur souveraineté sur leur politique culturelle", affirme l'économiste et sociologue Robert Pilon, vice-président exécutif de la coalition pour la diversité culturelle au Canada.

           Le Chili a été l'un des premiers à accepter de ne pas modifier sa législation existante. Ses quotas de diffusion d'œuvres audiovisuelles ne pourront donc pas s'appliquer aux chaînes privées, ni à Internet. Malgré les efforts de la France pour empêcher que le Cambodge fasse une offre de libéralisation de ses industries culturelles, rien n'a pu être évité. "Les Américains utilisent des tas de moyens pour obtenir le maximum de libéralisation de services (cinéma, télévision, musique, livre, nouveaux médias). Généralement, il leur suffit de baisser les droits de douane sur certains produits que les pays souhaitent exporter", précise-t-on dans l'entourage de François Loos.

           "Il existe une graduation dans l'échelle des pressions exercées par les Américains", souligne M. Musitelli. "En ce moment, au Burkina Faso ou au Bénin, des diplomates américains mènent un intense travail de lobbying. Ils n'hésitent pas à proposer de rédiger les offres commerciales à la place des représentants africains pour les accords bilatéraux", ajoute-t-on chez François Loos.

           Jean Musitelli précise que, dans certains pays d'Europe de l'Est ou au Vietnam, les Américains ont équipé le territoire en salles de cinéma. En faisant venir Tom Cruise ou une autre vedette hollywoodienne pour l'inauguration d'un multiplexe, ils soignent leur image.

           Le bras armé du lobbying américain est la Motion Picture Association of America (MPAA), qui regroupe les principaux studios hollywoodiens. Son nouveau président, Dan Glickman, ancien secrétaire d'Etat à l'agriculture de Bill Clinton, a pris rapidement la mesure de sa mission. Il sait mieux que quiconque que l'exportation des biens culturels dope l'ensemble des exportations américaines. Ce qui lui a récemment fait dire, à propos de la convention à l'Unesco : "La diversité culturelle ne doit pas être une excuse pour créer de nouvelles barrières." On ne saurait être plus clair.                  [ par Nicole Vulser ]

L'exemple doit venir d'en haut (2004-Déc-17)

Le Prince des lâches : J'aiderai le Premier ministre de toutes mes capacités pour éliminer la corruption. Nous devrons sévir en commençant par le haut. Alors M. Hun Sèn doit le premier donner sa démission!
Le Premier voyou : Hem! J'ai su que quelqu'un a empoché 50 million dollars U.S. Et puis, il y avait eu Chea Vichea et Om Radsady ... pour ne parler que de ceux-là!
Le Prince des lâches : Heu ... correction! Parlons plutôt de la réduction de la pauvreté et de la création d' emplois!

CRIMES SEXUELS IMPUNIS (2004-Déc-11)

Women's group in Cambodia closes after armed raid on shelter
AP - PHNOM PENH, Cambodia: A shelter for former prostitutes temporarily shut its doors Friday after gunmen kidnapped 92 of its inhabitants and made death threats against the staff, the shelter's director said. Attackers stormed the shelter on Wednesday and abducted 84 women and girls who had been rescued from a Phnom Penh brothel the day before, director Somaly Mam said. An additional eight girls at the shelter also were kidnapped. One resident escaped by hiding in a restroom. Somaly Mam said she and her staff no longer felt safe because the gunmen made death threats during the attack, and that she would temporarily close her women's rights group, Afesip, which handles various services for women and employs 180 people. "Unless there is an intervention from the government, we don't know how we can continue to operate,'' she said. "If we don't see anyone come out to address the trouble caused to our organization ... by some mafia group, we will close'' for good, she added. Afesip receives U.S. funding to help trafficking victims, and has an annual budget of more than US$2.6 million (euro2 million). The U.S. State Department strongly condemned the attack in a statement issued Thursday. The U.S. is "very concerned about the safety and well being'' of the abducted victims and the "Cambodian government must take immediate and urgent action to locate, rescue and protect them,'' deputy spokesman Adam Ereli said. Interior Ministry spokesmen and anti-trafficking officials were not immediately available Friday for comment. "If we close for good, it will also be disadvantageous for the government,'' Somaly Mam said.
Audience reportée à cause du manque d'interprète khmer-français
Koh Santepheap - Phnom Penh : Pour la troisième fois, le tribunal de Phnom Penh a reporté son audience du 9 décembre concernant un pédophile de nationalité française. Olivier Maurice FRENOY, 34 ans, fut accusé de sodomie sur deux adolescents de 14 et 16 ans, le 19 décembre 2003 et détenu provisoirement à la prison de Prey Sâ. La première audience fut reportée pour raison de santé de l'accusé et la deuxième par manque d'interprète. Ce matin du 9 décembre, pour la  troisième fois, aucun interprète khmer-français n'a pu être trouvé par le tribunal.



Olivier Frenoy : Son Excellence Hok Lundy est très élégant! Vu de dos, c'est tout un morceau! Seulement, il n'est plus très jeune!
Hok Lundy : Hein? Sale pédale! Je n'aime que des adolescentes! Je viens d'en libérer 92 du centre Afesip! Si tu ne fermes pas ta sale gueule, je me ferai interprète à la cour pour te faire condamner!
Olivier Frenoy : Oh, ça va! Ça va! Entre pédophiles, on se comprend!

LES SIX
COMMANDEMENTS
REFORMING
OUR BUDDHISM
GRAMMAIRE
KHMÈRE
NOVEL
(Author)
PHN@M-P@NH-P@TINS
(Previous)

    FRAN-GLO-GIBWÉ
 
    CAMBODIATRIBE
 
    GOD vs BUDDHA
 
    COURRI@L 2004
 
   
PEN Nearovi, Montréal, Québec, Canada
(nearovi@sympatico.ca)