LES 6
COMMANDEMENTS
camboDIATRIBE THE 6
COMMANDMENTS


Sam Rainsy voulait être FUNKiste !
(2004-Oct-01)

SELON UNE LETTRE DU 17 MARS 1975
Rain Sihanouk : Sam Rainsy, fils de Sam Sary, gendre de Nhiek Tioulong, demande à se joindre au FUNK.
Rain Samphan : Je sais que cet individu a essayé de former une "Troisième Force" avec des étudiants de Paris.
Rain Sy : Excellence! C'est parce que le régime de Lon Nol est corrompu et antinational!
Rain Sihanouk : Il a attendu que nous soyons près de la victoire pour se rallier à nous.
Qu'est-ce qu'on va faire de lui?

Rain Samphan (pensant tout bas : D'après le plan de Pol Pot, il ira dans un camp de travail sinon à Tuol Slèng!)

Grignotage vietnamien (2004-sep-29)
A CHAMKAR MTÈS, UN CANAL VIÊTNAMIEN SOUS SURVEILLANCE VILLAGEOISE
         Cambodge Soir : Svay Rieng - Il semble arriver de nulle part pour s'arrêter net, à 200 mètres d'une pagode aux murs de terre coiffée de tôle qui paraît le tenir en respect. Voilà cinq ans que ce canal empoisonne la vie des habitants de Chamkar Mtès, un village de la province de Svay Rieng, planté au bord d'un morne no man's land au delà duquel se trouve le Viêt-nam. Car nul doute pour ceux-là que le canal, creusé en 1998 par les Viêtnamiens, ne devrait pas arriver aussi près de leur village. Tel un cheval de Troie liquide, l'ouvrage aurait, selon eux, permis aux Viêtnamiens de marquer dans le paysage leur conquête, en catimini, d'un morceau de terre khmère. La pagode témoigne de leur certitude que le Cambodge a été floué par son voisin, en ces lieux où aucune borne n'indique où se trouve la frontière. L'édifice, qui ne paye vraiment pas de mine, a été construit en 1999 juste à 200 mètres du bout du canal, dans le but évident d'empêcher que celui-ci avance plus loin. Et l'année dernière, ce dispositif défensif a été complété par la plantation d'acacias.
         Ici, personne sauf les autorités locales, n'hésite à le dire à voix haute : le Viêt-nam a acquis de fait un petit bout de la terre cambodgienne et continuerait, pas à pas à avancer. "Nous ne savons pas exactement combien nous avons perdu. Peut-être avons-nous reculé 5 ou 6 kilomètres par rapport à l'ancienne borne frontalière", se désole Yuos Chea, un habitant du village voisin de Daun Tey, en posant un regard attristé sur le canal. Teu Chhey, un achar de la pagode, se montre plus tranchant. "J'ai perdu six hectares de terre à cause des empiètements qui se sont produits à la fin des années 1990, tempête-t-il. J'ai porté plainte devant les autorités locales mais personne n'est intervenu." Gardien du temple-fortin, le vénérable Young Sdeung, l'unique bonze de la pagode, bout d'une colère à peine contenue quand il darde du regard le canal. "Depuis que nous avons construit cette pagode, les empiètements ont cessé. Mais ils ont quand même réussi à creuser ce canal dans notre terre. Une fois, j'ai voulu y puiser de l'eau. Mais les Viêtnamiens m'ont averti que je ne devais plus recommencer sinon je serai arrêté", s'emporte-t-il.
         À la police des frontières, on s'exprime avec un certain embarras à propos de ces supposés grignotages qui enflamment  les esprits. "Les villageois nous ont dit que les Viêtnamiens rongeaient leur terre. Mais nous faisons des patrouilles tous les lundis et nous n'avons pas remarqué  d'irrégularités", lâche-t-il, manifestement réticent à s'exprimer sur le sujet. Veung Sothy, le chef du village de Chamkar Mtès depuis 1979, dit avoir relayé les doléances de ces concitoyens au plus haut niveau. "Je ne peux faire que cela : alerter les plus hautes autorités", explique-t-il. A Phnom Penh, ils ont trouvé un soutien en la personne de Has Saren, un sénateur royaliste. "Quand j'ai été informé de la situation dans ce village, j'ai décidé de participer au financement de la pagode et j'ai mobilisé des Khmers vivant aux États-Unis autour de cette cause", indique le sénateur.
         Cependant, Var Kim Hong, président du Comité national des frontières, chargé de l'épineux dossier des litiges frontaliers, assure qu'il ne se passe là rien d'anormal et que les médias - tout particulièrement Voice of America et Radio Free Asia - qui se sont emparés de l'affaire "exagèrent". "Cette histoire de canal est une vieille histoire et les médias travestissent la réalité. Croient-ils que nous ne faisons rien ? Nous avons une police des frontières et une armée qui veillent à empêcher tout grignotage. Par exemple, dans la province de Kandal, ces forces viennent d'arracher des plants de pommes de terres plantés par des Viêtnamiens sur nos terres", souligne Var Kim Hong, qui assure n'avoir reçu aucun rapport sur des supposés grignotages de terre dans le secteur du village de Chamkar Mtès. "Si cela se passe effectivement, nous agirons immédiatement." insiste-t-il.

         Que les autorités le veuillent ou non, les villageois de Chamkar Mtès continueront de regarder le canal comme la pointe avancée d'une sournoise invasion du pays voisin. Et dans la pagode, le vénérable Young Sdeung et ses fidèles achars ne cesseront pas avant longtemps de le guetter du coin de l'oeil. Au cas où cette méchante langue d'eau se piquerait d'avancer encore un peu...                     [Kong Sothanarith]

          Khemarajati : Cet article dénote aussi un pas important dans la prise en charge des intérêts nationaux par le peuple. C'est un des résultats tangibles de nos luttes multiformes et unitaires contre l'Ignorance, contre la Maladie, contre la Misère, pour l'Indépendance nationale avec notre intégrité territoriale et maritime, contre le monopole économique et financier de la société vietnamienne Sokimex avec sa banque Canadia, pour la Démocratie et la Liberté. Ces luttes multiformes et unitaires des Cambodgiens au Cambodge comme à l'Étranger, trouvent aussi des échos parmi nos frères au Kampuchea Krom et en Thaïlande. Ce sont des encouragements pour eux.

Chinese $ For Cambodian Parties (2004-Sep-21)
A visible and partisan Chinese aid
         Khmerintelligence.org : China has successfully managed to make her assistance to Cambodia very visible so as to reap immediate political benefits: for instance, she has financed the construction of the Senate building as well as new buildings in the National Assembly existing compound, and has announced she would finance the construction of a new compound for the Council of Ministers (or Office of the Prime Minister). Chinese assistance to Cambodia is also overtly partisan with Beijing providing equipment and/or funds to the two ruling parties: before the 2003 parliamentary elections, China officially gave $1 million to the CPP and $1 million to Funcinpec. Since the beginning of this year Funcinpec has received financial assistance from China on a regular basis that helps the royalist party cover most of its functioning costs.

          N.P. : Il y a une vingtaine d'années, qu'il s'agisse d'une nouvelle ambassade américaine à Moscou ou d'un nouveau consulat soviétique à New York, on entendait parler du scandale des micros incrustés dans le béton et autres matériaux de construction. Vu l'avance de la technologie cambodgienne et l'aveuglement des Cambodgiens de "vendre leur pays" pour faire de l'argent (même un peu!), on peut s'attendre à ce que les Chinois entendront tout ce qui se dira dans la nouvelle Présidence du conseil des ministres du Cambodge.

Majesté, rougissez devant Chea Sim ! (2004-sep-12)

Chea Sim : Eh bien! J'ai agi selon ma conscience en respectant la Constitution. La police est venue m'arrêter et m'expulser à Bangkok. Mais à la fin, ce vilain roi signa le décret nommant Hun Sèn premier ministre!
N. Sihanouk : Holà! Sale paysan crotte-de-boeuf! T'as déjà le rang de Samdech, de quoi te plains-tu?
Chea Sim : Oh, pardon! J'savais pas que vous étiez là. De toute façon, Samdech aujourd'hui ne vaut plus rien, il y en a trop! Samdech Borom Reamea Mon-fils-de-ma-propre-tante, Samdech Mohessara Le-singe-nettoyeur-d'avions, Samdech Preah Anoch, Samdech Paroneath Danseur-de-ballet-Bolchoï ....
N. Sihanouk : Monsieur Sim! Soutenez un candidat roi pour ma succession, et on vous donnera le titre de Son Altesse Royale Krom Hmeun Chea Sim!

LES SIX
COMMANDEMENTS
REFORMING
OUR BUDDHISM
GRAMMAIRE
KHMÈRE
NOVEL
(Author)
CAMBODIATRIBE
(Previous)

    FRAN-GLO-GIBWÉ
 
    PHN@M-P@NH-P@TINS
 
    GOD vs BUDDHA
 
   
PEN Nearovi, Montréal, Québec, Canada
(nearovi@sympatico.ca)